Minuit.
Le silence de la nuit me nuit.
Je repense à ces maudits mots dits.
Dont mon cœur épris a payé le prix.
Pas de bon soir sans ton bonsoir.
Des espoirs, il ne reste que le désespoir.
Moment de déni, je nie les insomnies.
Alors j’écris pour faire taire les cris.
Penser les mots pour panser mes maux.
Car, sans vers, j’ai le cœur à l’envers.
Quel manque de pot que de t’avoir dans la peau.
Crois-moi, il est trop tôt pour se dire à bientôt.